dimanche 1 avril 2007

Mini-Jupe et les tambourines

Ceci pourrait bien être le nom de mon nouveau band trendy mais obscur constitué uniquement de percussions et de voix expérimentales. Dans la réalité, c'est plutôt une histoire en petits morceaux...

Un jour, j'ai vu un tambouriniste fou. Un personnage au nom littéraire, qui hurle sa folie sous les projecteurs et crache de la bière sur quiconque s'approche trop près. Étant de nature extrême et ayant un penchant marqué pour les comportement destructeurs (verres, bouteilles, micros, rien ne lui échappe) il a l'habitude de faire voler en éclat sa tambourine à la fin d'une représentation.

Un soir, c'était l'été et j'étais à Québec chez Super Mel, et la coquine m'a offert deux cymbales égarées par le ténébreux. Je m'exclamai aussitôt "Maudite folle!" en riant aux éclats. Ce fut le premier morceau de l'histoire.
À ma fête au printemps d'après, je reçu ma tambourine rouge en forme d'étoile. L'objet est exposé sur mes murs depuis, est tombé de son clou pour se briser, fût recollé avec du tape.

Un autre soir de perdition et de rock'n'roll déjanté, Mel ramasse en cachette un petit morceau sans que je ne remarque quoi que ce soit. Elle me l'offre à la maison, la joueuse de tour à encore frappé.

Et puis, j'ai amené la tambourine à un autre niveau, quand il a fallu que je me trouve un nom de monitrice de camp de jour. J'ai hésité longtemps, j'avais plusieurs idées. J'ai demandé l'avis de tout le monde. Finalement, Tambourine s'est avéré être le choix évident. Aucun des jeunes du camp ne pouvait savoir toute la signification de ce surnom. Que de mystère.

Deux autres morceaux se sont ajouté à cette collection semi-imposée. Je ne sais pas trop quand les morceaux de se casse-tête impossible arrêteront de se multiplier. Je les garde telles des reliques. Ça fait parler les gens qui viennent chez moi. Voici une image qui vaut bien 1000 cymbales...


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