Je viens de finir de regarder Continental ; Un film sans fusil. Ça m'a fait penser à ma journée d'aujourd'hui. Le film raconte la solitude de quatre personnages. Des plans fixes, peu de mots, des images sobres. À première vue, ça peut sembler long et plate. Comme la marche que j'ai fait cet après-midi. Toute seule, sous la pluie, sans musique, pendant trois heures.
Pourtant, Continental est parsemé d'humour et à travers les silences, les personnages sont vraiment attachants, même si on ne sait pas vraiment ce qu'il adviendra d'eux. Ils s'entrecroisent brièvement, s'aident un peu à avancer. J'ai croisé des gens en marchant. Des connaissances, des inconnus. On a marché ensemble un peu, même si on a pas beaucoup parlé, on a partagé quelque chose. Une cause. La manif était un peu comme le continental ; on est en groupe, mais on est tout seul. Le mouvement de chaque personne contribue au mouvement collectif.
Pourtant, Continental est parsemé d'humour et à travers les silences, les personnages sont vraiment attachants, même si on ne sait pas vraiment ce qu'il adviendra d'eux. Ils s'entrecroisent brièvement, s'aident un peu à avancer. J'ai croisé des gens en marchant. Des connaissances, des inconnus. On a marché ensemble un peu, même si on a pas beaucoup parlé, on a partagé quelque chose. Une cause. La manif était un peu comme le continental ; on est en groupe, mais on est tout seul. Le mouvement de chaque personne contribue au mouvement collectif.
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