mercredi 22 octobre 2008

Mini chronique du métro

Mardi après-midi. En route vers le travail. Comme toujours j'ai mon ipod bien branché dans mes oreilles. Pour une fois je n'écoute pas Karkwa ou ma liste de chansons d'amour... J'attends le métro avec Gatineau qui me rappe ça solide. Le train arrive. J'entre et m'asseois. Devant moi, un homme qui porte une robe de moine, frère ou je ne sais trop quel uniforme religieux. Pile au moment où je remarque son habillement, The Christ is Right commence tranquillement avec la chorale qui fait ses Ouuhh Ouuhh. Je regarde l'homme de foi et je souris en hochant la tête au rythme de la chanson. Je voudrais qu'il entende ce que j'entends, j'ai envie de lui dire "Jésus s'en viens chez vous!" et je ris intérieurement...L'homme débarque à Mont-Royal. Peut-être s'en va-t-il écouter un discours du Lord en personne au sommet de la montagne...

dimanche 5 octobre 2008

Des choses et d'autres...

Je n'ose plus regarder les statistiques de mon blogue sur Google Analytics. J'ai peur de la courbe descendante du nombre de visiteurs. Je me sens comme la Bourse qui s'effondre. Pour avoir été trop économe de mots, voilà que je n'en ai plus dutout. Ça fait un bail que je ne donne plus de nouvelles ici. Pas parce qu'il ne se passe rien d'intéressant, ni parce que le temps me manque tant que ça. Je crois que j'ai simplement du mal à faire le tri! Enfin, je vous laisse quelques trucs en vrac...

La politique me fais peur ces temps-ci, je me pose plein de questions, je ne sais plus s'il faut voter ou pas, s'il faut sortir dans la rue ou continuer de bien étudier. Je vais demander à Noam ce qu'il en pense, et quand j'aurais compris le pouvoir, peut-être que j'aurai moins peur...

En attendant, je dévore les romans de Frédéric Beigbeder, le dingue derrière 99 Francs et sa savoureuse suite, Au secours pardon. Je me retape aussi la série Les Enfants de la Terre, de Jean M. Auel. Je cherche l'équilibre entre la préhistoire et la publicité sauvage...

Je ne cesse d'écouter Karkwa.

Il est dans chaque fibre de mon être. Je voudrais lui dire elephant shoes. Où est la ligne entre intimité et proximité. Pourquoi ma vie est comme un film en accéléré.

C'est tout pour aujourd'hui. Je vous invite à aller faire un tour sur mon compte Flickr pour voir plein de photos.